Nos conseils pour réussir son apprentissage en parapente

Qu’est-ce qu’un parapente ? Un parapente est un dérivé du parachute, c’est-à-dire, un aéronef qui s’apparente au para moteur (aéronef doté d’un voile et d’un moteur placé au dos du pilote), ou d’un aéronef planeur sans moteur. Depuis son invention en 1965 par un chercheur de la NASA, il a de bien évolué en termes de performance et de sécurité. Chaque année, on note une très forte influence des adeptes de ce sport de loisir. Si vous aussi, vous voulez vous lancer dans ce sport, suivez notre guide afin de vous préparer à votre premier saut.

Les choses à savoir avant de vous lancer

La meilleure solution quand on est encore novice dans le domaine est de suivre un stage auprès des écoles spécialisées en parapente. Ceci vous évitera les mauvaises surprises. Les stages vous permettront de découvrir pas à pas les indispensables en parapente. De la base théorique à la pratique, les formations vous permettront de tout découvrir sur le parapente comme la prise en main, la sensation d’apesanteur ou encore, la préparation au vol. Le stage dure en moyenne deux à cinq jours afin d’assimiler les bases de ce sport. Pendant le stage, vous serez ainsi, amenés à faire des exercices de perfectionnement au décollage et vous apprendrez également, les techniques de virage et d’atterrissage. Au fur et à mesure de votre perfectionnement, vous serez livrés à l’autonomie. Dans ce cas, la première journée sera dédiée à la pente, c’est-à-dire, au moment où vous serez entrainés à gonfler l’aile. Cet exercice sera maintes fois répété, car c’est la base du décollage. Cette action comporte la technique de gonflage de l’aile et la méthode pour courir, afin que de permettre à la voile de s’élever. Ensuite, vous apprendrez à diriger le parapente dans la direction que vous souhaitez. Le reste de la leçon est de savoir maitriser la voile, pour qu’elle ne vous emporte pas dans une autre direction.

Conseils pour bien décoller

Il est essentiel de bien jauger l’énergie dans la montée de l’aile, car avec ou sans vent, les mouvements secs élèveront le parapente brusquement et le pilote ne sera pas en mesure de le contrôler. Conseil simple pour un parfait décollage, dans ce cas, mais qui exige une éducation et plusieurs pratiques : il est important de ressentir l’écopage et de savoir contrôler la vitesse de montée de l’aile. Une fois la position verticale acquise en douceur, le décollage s’en suivra. L’écopage consiste à donner sa forme au bord d’attaque. L’aérodynamique de l’aile ne fonctionnera que si le bord d’attaque prend bien sa forme. Une fois que l’on sent par nos mains une sensation de lourdeur, ceci veut dire que le bord d’attaque est à son plein et l’envol en douceur est maîtrisé. Par ailleurs, la vitesse au vol dépend du poids appliqué à l’aile. Par exemple, si on augmente le poids au volant, l’aile volera plus vite, et vice versa. Idem pour le gonflage, une charge plus conséquente appliquée au bord d’attaque détermine la vitesse d’ascension de l’aile. Lorsque la lourdeur est à sono point nommé, qui signifie que l’écope est bonne et la lourdeur est détectée dans les mains, l’opération suivante consiste à appliquer le bon poids sur les leviers. Cela, afin que l’aile monte toute en douceur. Ces opérations sont acquises en pratiquant plusieurs fois les mêmes gestes, et en s’entraînant plusieurs fois jusqu’à la parfaite maitrise du parapente.

Laisser un commentaire